Interview pour l’exposition « Trois (à Villerville) »
Florence Salagnac vit une belle histoire d’amour avec la pierre. « Celle que je préfère sculpter est la pierre de Bourgogne, confie-t-elle. Elle me donne le côté brut et fort que j’aime. »
Le sculpteur travaille la pierre « en taille directe. Je raconte des petites histoires qui me tiennent à coeur. Ainsi, ces deux personnes enlacées figurent la transmission de pensée. La pensée qu’envoie l’une vers le haut, retombe sur l’autre ». Le résultat est beau, lisse et doux sous la main qui est obligatoirement attirée.
Source : Ouest France